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  1. Comme on l'a chassée jusqu'à menacer la survie de l'espèce, empoisonnée avec nos pesticides tout en détruisant son habitat, c'est important - sitôt la population remontant un peu - de pouvoir tirer dans la tronche de la Tourterelle des bois. C'est de l'amour de la nature, hein !

    Article France info : la chasse à la Tourterelle des bois à nouveau autorisée
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  2. C'est bon on a compris, LFI n'aurait pas dû refuser d'accréditer un journaliste qui doit sa carrière à cracher sur LFI venu juste pour faire de la provoc.

    Maintenant on vous attend sur le service d'ordre du RN qui agresse des journalistes, et les macronistes qui sélectionnent les journalistes.

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  3. Lorsqu'il accuse Macron d'antisémitisme, l'antisémite Nétanyahou lui inflige exactement ce que les antisémites macronistes ont infligé pendant deux ans à leurs adversaires de la gauche antiraciste.

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  4. Attaquer la justice et ceux chargés de la faire appliquer, c'est ce que font les délinquants.

    Les droits de l'Homme ont aussi leurs délinquants.

    Les victimes palestiniennes et afghanes voient qui les défend et qui attaque ceux qui les défendent.

    La Cour pénale internationale estime que ces sanctions représentent une « attaque flagrante » contre l’indépendance de l’institution. La décision américaine a été saluée par le premier ministre israél...

    Les Etats-Unis prennent de nouvelles sanctions contre la CPI pour ses enquêtes impliquant Etats-Unis et Israël

    La Cour pénale internationale estime que ces sanctions représentent une « attaque flagrante » contre l’indépendance de l’institution. La décision américaine a été saluée par le premier ministre israél...

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  5. En France, en 2025, sous prétexte de "sécurité" mais sans pouvoir expliquer en quoi, l'Etat a décidé d'appliquer des méthodes inspirées de Camp Delta Guantanamo. C'est de la torture sur détenus. On se réveille, ou toujours pas ?

    Dignité des détenus : Le régime de réveil nocturne (toutes les 2 heures) imposé aux détenus placés dans le nouveau « quartier de lutte contre la criminalité organisée » (à Vendin-le-Vieil) doit cesser.

    Car cela s'apparente à un traitement inhumain ou dégradant.

    [JLD Lille, 18 août 2025]

    6) Sur le réveil imposé toutes les deux heures
XXX soutient que l'administration pénitentiaire lui impose un réveil toutes les deux heures au cours de la nuit par l'allumage systématique, depuis l'extérieur, de la lumière de sa cellule par les surveillants effectuant les rondes. Sur ce point, la direction du centre pénitentiaire n'apporte aucune réponse circonstanciée, se bornant à rappeler que le régime auquel	 XXX est soumis est régi par un impératif de sécurité.

Si l'impératif de sécurité avancé par l'administration pénitentiaire peut être considéré comme légitime et ne saurait, en principe, être remis en cause, il convient néanmoins de rappeler qu'un tel impératif ne peut justifier des atteintes disproportionnées aux droits fondamentaux des personnes détenues. En effet, le respect de la dignité humaine constitue une exigence absolue, consacrée tant par le droit interne que par les instruments internationaux de protection des droits de l'homme.
Or, le fait de réveiller systématiquement un détenu toutes les deux heures au cours de la nuit, par l'allumage complet de la lumière de sa cellule, constitue une pratique susceptible d'altérer gravement la qualité de son sommeil, d'affecter sa santé mentale et, in fine, de porter atteinte à sa dignité. Une telle mesure, si elle est appliquée de manière mécanique et sans évaluation individualisée, pourrait s'apparenter à un traitement inhumain ou dégradant au sens de l'article 3 de la Convention européenne des droits de l'homme.

Au vu de l’ensemble des éléments, il ressort que les conditions de détention décrites par XXX dans sa requête du 5 août 2025 ne sauraient être considérées comme contraires à la dignité de la personne humaine à l'exception du réveil toutes les deux heures imposé par l'allumage de la lumière à l'intérieur des cellules. Sur ce point, un délai de 10 jours sera laissé à l'administration pénitentiaire pour y mettre fin.
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